AXEL MERRYL LIVRE UN CLIP CHOC : « ABOU »

Axel Merryl, artiste et vidéaste béninois désormais incontournable, dévoile avec ABOU un clip officiel à l’esthétique soignée et au scénario inattendu. Mêlant humour, émotion et critique sociale, le clip nous plonge dans l’univers coloré et engagé de celui qui a su conquérir plus d’1,3 million d’abonnés YouTube.

Un univers visuel travaillé

Dès les premières secondes, ABOU séduit par sa photographie chaude, ses décors soignés et la présence de personnages attachants. Axel Merryl déroule un récit aux multiples rebondissements, porté par une réalisation professionnelle — preuve que l’homme ne cesse d’évoluer, passant du portrait comique à la mise en scène musicale stylisée.

Une narration pleine de surprises

Le clip raconte l’histoire d’un personnage central, « Abou », frappé par la trahison et les faux-semblants familiaux. Investissant pour le bonheur des siens, il se retrouve cocu, entouré de ceux qu’il croyait proches. La tension monte crescendo, jusqu’à un final inattendu, que je vous laisse découvrir… (indice : la fin bouleversera tout ce que vous avez imaginé).

Réactions du public et accueil médiatique

En quelques jours, le clip cumule plus de 150 000 vues. Sur Facebook, les commentaires saluent l’impact visuel et la force de la narration : « Un talentueux irrévocable, irréprochable… indomptable ». Déjà mis en avant sur Trace Africa, ABOU confirme son succès auprès des plateformes spécialisées.

Axel Merryl, l’artiste en pleine mue

Connu pour ses vidéos humoristiques teintées de culture béninoise, l’artiste poursuit sa diversification musicale. Après l’album Température sorti l’an dernier, il démontre avec ABOU sa volonté de créer des œuvres visuellement fortes, ancrées dans des récits humanistes.

À vous de juger la chute finale…

Le clip atteint son apogée lorsque la révélation finale renverse le sens de tout ce qu’on croyait acquis. Sans dévoiler l’intrigue, je vous invite à vous plonger dans cette histoire pleine de caractère et à méditer sur ce que le destin réserve à « Abou ».