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OYO : LE VOYAGE AFROFUTURISTE DE GKBL DE LOMÉ À L’INFINI

Avec “OYO”, le duo GKBL — composé de Germaine Kobo et Bella Lawson — propose une immersion saisissante entre héritage ancestral et modernité électro. Tourné à Lomé, au Togo, ce clip magnétique transpose un rituel africain en véritable épopée visuelle. Tambours, chants, danses tribales : tout semble appartenir à un autre temps... jusqu’à l’irruption d’une étrange lumière. La transe s’accélère, le rythme s’intensifie. Le spectateur se perd alors dans une célébration surnaturelle.


Un tournage ancré dans les terres du nord togolais

Inspiré d’un village du nord du Togo, le décor est brut, magnifique, réel. Le feu sacré au centre du cercle rythme les pas des danseurs. La caméra capte les textures de la terre, les regards habités, les gestes puissants. C’est une fête, oui, mais chargée de mémoire. La réalisation signée Légend sublime cette atmosphère, en la traversant de fulgurances presque mystiques.

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Une fusion musicale audacieuse

Avec “OYO”, GKBL s’impose comme l’un des porte-voix les plus pertinents de l’Afro-électro. Le duo fusionne des sonorités artisanales — percussions, chœurs traditionnels — avec des nappes synthétiques, des guitares trafiquées et une rythmique envoûtante. Ce pont musical entre le passé et le présent donne naissance à une esthétique qu’elles nomment Afrofutur Chic. Une identité sonore puissante, libre, inclusive.


Une esthétique travaillée, une vision affirmée

Costumes symboliques, lumière maîtrisée, jeu d’ombres et de silhouettes : chaque plan de “OYO” semble pensé comme un tableau. On y lit une vision artistique forte, féminine, politique même. Loin des clichés folkloriques, GKBL redéfinit l’image de la femme africaine moderne, ancrée dans sa culture et résolument tournée vers l’avenir.


Un message universel porté par deux artistes visionnaires

“OYO” dépasse les frontières. Il raconte l’Afrique autrement — loin des codes attendus — et touche par son authenticité. Cette célébration des racines, cette pulsation commune entre la nature, les êtres et la musique, résonne bien au-delà du Togo. Que l’on soit à Lomé, à Marseille, en Auvergne ou ailleurs, l’œuvre rassemble et émeut.


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